Une
semaine après le 62ème Grand Prix de PAU, Pau
à laissé place à la version historique profitant ainsi
de l'infrastructure déjà mise en place pour le grand
prix.
Pour cette deuxième
édition, pas moins de 250 voitures y ont participé
faisant de cette 2ème édition du Grand Prix
Historique de PAU un événement incontournable du sport
automobile.
Pour
ceux qui se souviennent, le grand prix de Pau faisait
partir des grand prix de formule 1 (grand Prix de l’ACF
à l'époque) mais fut rétrograde en Formule 2 en
1958….Cela ne tua pas l’esprit automobile de Pau et
permis à beaucoup de grand pilote de faire leurs armes de
de devenir de grand pilotes…tel que Clarck, Hill,
Stewart dans les années 50 et Laffite ou bien Prost dans
les année 70 grâce au formule de Promotion.
Aucun
droit à l'erreur
Le
circuit de Pau reste aujourd’hui un des derniers
circuits comme celui de Monaco a être un circuit en ville
correspondant au tracé d'origine...ceci pimente
d’ailleurs la course pour les voitures les plus
puissantes, laissant peu de marge de manœuvre aux pilotes
et sanctionnant la moindre erreur.
Sur
ce tracé lancé dans les années 30, il était bien périlleux
pour les formule 1 et les prototypes d'évoluer
en donnant le maximum de leur puissance.
Neuf
courses se sont succédé, réunissant de superbes autos
et de sacrés pilotes tels que Stirling Moss au volant
d'une Lola MK1 de 1960 pour la course Sport moteur avant.
Pour
ce qui est de la course d'endurance GT, c'est le duo Henri
Pescarolo/Jean-Claude Andruet qui s'est distingué en
remportant la course d'endurance GT au volant d'une AC
Cobra de 1964.
T.M.
Un
grand merci à Hervé Margolles pour son aide à la
rédaction de cet article.
